Monday, 28 January 2013

On envie toujours la vie des autres...



On a tous une copine pleine de vie, dynamique qui a tout pour plaire… Celle qui a le super job et le super mec. Bref, celle qui a la superbe vie. On se demande parfois comment ils font les autres à qui tout semble réussir. C’est comme s’ils étaient nés sous une bonne étoile… Vous avez beau tout donné mais rien ne semble suffisant.
Vous donneriez n’importe quoi juste pour échanger de vie. Chausser ses chaussures juste pour une fois, histoire de voir comment c’est de vivre sa vie. On envie souvent la vie des autres. Parce qu’on ne  sait pas ce qu’ils cachent derrière cette facette de « regardez-moi  j’ai la vie que tout le monde rêve ».  Ou encore parce que la vie des autres semblent plus attrayante que la nôtre.
Tout simplement parce que quand on regarde la vie les choses  ne sont pas ce qu’elles devraient être.  On était censé embrasser une belle carrière, rencontrer un homme formidable…Bref, la totale quoi ! Et quand on regarde à côté le voisin semble avoir tout ce que l’on convoite. L’objet de tous nos désirs. On le maudit et on l’envie sans réaliser que ce sont nos choix qui amènent souvent à tout foirer dans la vie.
On n’a pas la vie que l’on voudrait avoir. On a la vie qu’on mérite…Le fruit de nos choix. On a la vie qu’on doit avoir. Quand on aura accompli certaines choses, peut-etre alors changerons-nous de vie…

Sunday, 20 January 2013

Volage



Tout tenter
Me planter si besoin est
Saisir l’opportunité
Plongé dans l’inconnu
Permettre à mon cœur de t’aimer
Oui t’aimer à l’absolu
Sans tenir compte des conséquences
Besoin de vivre dangereusement
Au bout du rouleau, état d’urgence !
Je divague, une minute je te dis que je tiens à toi amoureusement
Et puis je ne sais plus ce que je veux…
Je laisse mes sentiments me porter
Volage...

Friday, 28 December 2012

Comme une envie d’ailleurs...



Les agences de voyage vendent du rêve : la destination par excellence qui  vous fera vivre l’exception. Cette expérience que vous n’aurez que si vous voyagez. Leurs armes ? De beaux ouvrages de vacances ouverts sur de superbes photos. Ensuite il y a la banalisation du voyage. Ces publicités qui vous démontrent que la classe moyenne est capable de se payer n’importe quel voyage comme si c’était à la portée de tout le monde. Créant ainsi l’illusion que voyager fait partie de nos besoins élémentaires…
J’ai conscience de tout cela et pourtant, cela ne m’empêche pas de vouloir acheter ce rêve tout en ayant les pieds sur terre.  Partir semble être devenu une nécessité afin de se retrouver. C’est comme une incitation à la thérapie de la fugue. Oublier…Voilà ce que je cherche. « M’en aller, s’évader », comme le chante si bien Tal. Comme une envie d’ailleurs…Comme une envie de tout plaquer.
Changer de cap, plongé dans l’inconnu et recommencer à zéro. Peut-être que je me fais des films puisque l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Pourtant je n’ai nulle envie de plage au sable doré ou encore d’hôtel de luxe.   Peut-être voyager non pour fuir mais pour se découvrir.  Passer par sa propre prise en charge et l’autonomie. Se retrouver propulser dans un monde étranger et devoir battre de ses propres ailes.
Prendre le large sans destination précise. Embarquer dans un train et voir les souvenirs s’effriter à perte de vue. Dire aurevoir au passé et bonjour à une nouvelle vie. Faire ses premiers pas en tant que personne indépendante. Je rêve et j’aspire à cette vie. Un jour peut-être…Oui un jour. Entre temps, je prends mon mal en patience en construisant demain. Petit à petit l’oiseau fait son nid non ? 

Wednesday, 26 December 2012

Il est le 26 décembre et je suis toujours en vie :P



Si j’écris ce « post » c’est afin d’accentuer qu’on a survécu au changement de cycle du calendrier maya. La prophétie des mayas voulait que le 21 décembre soit la fin du monde. Faut croire qu’ils s’étaient trompés sur toute la ligne. Mais bon, cette date mêlant mystère et calculs n’a pas manqué de fasciner les accros de l’apocalypse  qui ont entrevu « la fin du monde ».
Ma page d’accueil de Facebook était remplie de « status » sur la fin du monde la semaine dernière. A croire que c’était le « hot topic » de la semaine. Certains s’inquiétaient que la fin du monde était proche, alors que d’autres se faisaient du souci par rapport à ce que certains petits malins seraient prêts à faire étant donné qu’ils croient dure comme fer que l’apocalypse approche.
Personnellement, je ne savais pas vraiment si je devais croire en la fin ou pas. Je dois avouer que j’étais sceptique et intriguée par la chose. J’ai pour principe de croire en toute chose du moment que personne ne m’a prouvé que cela n’existe pas. Ce principe ne signifie pas pour autant que je suis crédule.
Faut croire que je n’étais pas la seule à avoir au moins envisagé la chose. La presse écrite, la radio et la télévision en ont aussi parlé pendant une semaine. Tout le monde a donné son avis sur la chose. Les optimistes et les pessimistes se sont affrontés et les scientifiques ont aussi fait part de leur point de vue. D’ailleurs ils étaient nombreux à désapprouver l’aboutissement de ce cataclysme. 
Quoiqu’il en soit, j’écoutais une émission à la radio 21 décembre et un homme avait avancé que contrairement à ce que les superstitieux croient, le 21 décembre ne signifie pas la fin du monde mais « l’éveil spirituel ». Apparemment, on pourra commencer à « communiquer par la pensée ». On est le 26 décembre et je ne me suis toujours pas découverte de nouvelles aptitudes.
Nous avons peut-être survécu à la « prophétie maya » du 21 décembre, mais cela ne nous tire pas d’affaire pour autant. En effet, elle n’est que la 183e à annoncer la fin du monde. La prochaine est au programme pour 2014, suivie de tant d’autres prophéties. Selon la bible, nul homme n’est dans la mesure de prédire quand sera la fin du monde. Seul Dieu a ce pouvoir. Mais bon, cette « prédiction » m’a permis de faire le point sur les choses que j’ai accompli et les choses que je veux faire dans l’avenir. Je n’avais pas de résolutions pour 2013, mais maintenant j’en ai.
Bisous. 

Sunday, 16 December 2012

Un prince charmant temporaire



Les rencontres délicieuses sont souvent le fruit du hasard. Raté son bus et tombée pile-poil sur le mec que vous n’aviez cessé t’observer depuis des mois ne peut être que qualifier comme « la chance de sa vie ». Un premier contact, un premier saut dans l’inconnu et constater qu’à priori vous semblez lui plaire. Aujourd’hui serait-il votre jour de chance ?

Chose que je me suis demandée quand je l’ai rencontré la dernière fois. Je ne manquerai pas de faire part qu’il m’a éblouit du regard. Après tout, comment peut-on rester de marbre face à un Apollon ? Je n’avais même pas à me demander s’il était aussi charmant qu’il n’en avait l’air. Faut croire que la chance me souriait puisqu’il s’est avancé vers moi et m’a abordé.

La complicité était au rendez-vous. J’avais oublié ma timidité et la peur de l’inconnu. Je l’ai souris et on a bavardé. Cela m’a fait songer à un collègue.  Il m’avait fait part de sa théorie sur les relations amoureuses. Selon lui, une relation n’est que le fruit d’une décision. On est avec quelqu’un parce qu’on a choisi d’être avec cette personne.

Une théorie que la romantique que je suis avais jugé trop terre à terre à l’époque. Quand j’y repense maintenant, il n’avait pas tout à fait tort. Le courant avait passé entre nous, parce que j’ai décidé que j’avais envie de le connaitre. Les choses auraient pu être autrement si j’avais pris une autre décision.   

Il m’avait subjugué avec son magnifique sourire, sa superbe voix, sa gentillesse et ses beaux yeux. Bref, vous l’avez compris j’étais sous le charme d’’un bel inconnu. Un inconnu qui conduit souvent  à l’idéalisation. On se met à s’emballer et à rêver jusqu’à mettre la personne sur un piédestal.  

Etape par laquelle je suis biensûr passée sauf que cela s’est estompée après une semaine.   Tiens cela me fait penser que j’ai souvent rencontré mon prince charmant. Sauf qu’àpres quelques conversations, il s’est souvent transformé en crapaud.

Monday, 10 December 2012

Everything that I ever dared to dream



The unfolding of a new story
I just want you to be...
Everything that I never thought could happen
A friendship that happens to deepen
A love that blossoms in the coldest world
A man that turns that woman into his girl
Be all that I have ever dared to dream
Looking out at the crowd and see your face shinning out
Be that guy that would stand out
By just being my friend and my lover at the same time
Waking up and having you on my mind
Falling in love just because you are amazing
Squeezing your hand as if it was a normal thing
Is this the beginning of a beautiful story?
Or just the product of a childish fantasy...?

Wednesday, 5 December 2012

La thérapie de l’écriture



L’écriture a un côté thérapeutique. Mettre sur papier nos secrets et nos désirs les plus intimes permettent de se libérer de ses frustrations et de ses angoisses. Bien que dans la plupart du temps, c’est nous notre interlocuteur. Parfois, on a juste besoin d’écrire le silence qui nous oppresse. Un besoin de reconnaitre par « écrit » qu’on souffre. Nul besoin d’une personne qui nous écoute, la plupart du temps les gens vous donnent des conseils inutile quand vous aviez juste besoin d’une oreille attentive.
Je n’ai jamais été douée en matière d’exprimer mes sentiments enfin du moins oralement…J’ai toujours eu ce besoin d’écrire afin d’évacuer mes émotions.  Une certaine nécessite d’écrire tous mes silences. On dit « que les paroles s’envolent mais que les écrites restent ». Peut-être ai-je l’arrogance de croire que mes écrits valent la peine de garder leurs traces sur terre…
Quoi qu’il en soit, j’ai pris conscience qu’écrire me permet d’avoir du recul par rapport à mon état d’esprit. Ecrire requiert qu’on réfléchisse afin de trouver les mots par excellence qui permettront de transmettre des émotions. A force de repasser des moments en boucle en cherchant les mots parfaits, il est m’est parfois arrivé de me demander : « n’ai-je pas été impulsive ? » ou encore « avais-je vraiment une raison de me mettre en rogne » ?
Cela fait huit ans que j’ai un journal intime. Enfin plusieurs…C’est fou parfois je les relis et j’analyse celle que j’étais et celle que je suis devenue. C’est la meilleure façon de faire un constat de mes progrès ou encore la meilleure façon de m’améliorer. Je me suis dit qu’un jour je les léguerai à ma fille. Je n’ai peut-être pas  envie d’être lue pour l’instant, mais j’aimerai qu’un jour si toutefois j’ai une fille, je voudrai qu’elle sache qu’avant d’être une mère j’étais une enfant, une adolescence et une femme.