Monday 29 October 2012

Alerte aux slips!



C’est enfin l’été ! Place au sable fin, du soleil à gogo, au bronzage et les playas party. De quoi pimenter des vacances bien méritées. J’aimerais en dire de même pour la vue… D’habitude, dans les films, t’as droit à des mecs qui se baladent torse nu sur les plages. Ils sont musclés, athlètes et ils ont de supers beaux yeux. Bref, vous avez compris ce sont des Apollons quoi ! Ai-je au passage précisé qu’ils ont un style d’enfer ?
J’aimerais en dire autant en ce qui concerne la réalité. Malheureusement, la fiction et la réalité s’entremêlent très rarement. Ce qui est d’ailleurs, très fâcheux. Voyez-vous, dans la réalité, des « sumos »  frêles et ratatinés sont nombreux et les Apollon se font rares. Je suis sûr que vous demandez ce que je veux dire par les « sumos frêles et ratatinés ».  
Et bien, ce sont ces hommes qui s’arment de leurs slips afin de venir à plage à la place d’un boxer, d’un bermuda ou encore d’un slip de bain. Ils ne font pas de différence entre un maillot de bain et un sous-vêtement. Premièrement aucun sens de l’esthétique, et deuxièmement, est-ce-qu’ils realisent qu’à chaque fois que les vagues s’éclaboussent sur eux, et bien on voit leur bijou de famille…
Et bien entendu tout ce qui va avec…Oui nous aussi les femmes on aime regarder. Sauf qu’on est un tantinet plus discret… Je n’ose pas compter le nombre de fois où j’ai eu droit à un tel spectacle.  On me dira peut-être que j’aurai pu détourner les yeux mais bon j’ai des yeux pour regarder na ?
J’ai oublié de faire ressortir qu’en plus de se pavaner en sous-vêtement sur la plage, ils auraient pu au moins avoir la « décence » de se vêtir d’un sous-vêtement qui leur mettra en valeur.   Ils sont nombreux à s’affubler de sous-vêtements un peu trop grand pour moi. Du coup, on a souvent l’impression qu’ils flottent dans leur slip ! D’où la référence aux « sumos frêles ».
Je peux dire au revoir aux bras musclés et tout ce qui va avec… Je crois que je vais me contenter de Jersey Shore. Sinon, et bien bonjour aux « sumos frêles »… Sur ce, profitez bien de l’été ;). 


Wednesday 17 October 2012

La première dame au second plan



Hier je regardais le débat entre Barack Obama et Mitt Romney. Je n’ai pu m’empêcher d’adhérer au dicton qui dit que « derrière chaque grand homme il y a une femme » après l’embrassade entre  Barack Obama et Michelle Obama. Une chose en entraine une autre. Mon esprit m’a ramené à Ponce Pilate le deuxième procurateur de la Judée nommé par Tibère.  L’homme qui a joué un grand rôle dans le jugement et la crucifixion de Jésus. Sa femme l’avait fait part d’un rêve inquiétant qu’elle avait fait concernant « ce juste ». Elle avait alors pris la défense de Jésus auprès de son époux. « Qu’il y a rien entre toi et ce juste ; car aujourd’hui j’ai beaucoup souffert en songe à cause de lui », avait-elle déclaré. Sans doute avait-elle essayé de prévenir son mari.
 Il y a toujours une grande femme qui par esprit, par la générosité, par l’amour et par la clairvoyance aide un homme au grand potentiel à réussir dans la vie. Ça me fait penser à la blague sur Barack Obama et Michelle Obama. Un soir le président Barack Obama et sa femme décidèrent d’aller dîner dans un restaurant pas très cher. Quand ils furent assis, le propriétaire du restaurant demanda à parler avec la première dame en privée. Ils acceptèrent sa requête et Michelle Obama eu une conversation avec le propriétaire. Suite à la conversation, Barack Obama demanda à Michelle : « Pourquoi était-il tant intéresser à te parler ? » Elle lui fit part qu’adolescent il était éperdument amoureux d’elle. Le président lui dit alors, « donc si tu l’avais épousé, tu aurais été le propriétaire de ce joli restaurant, ».  Remarque à laquelle Michelle répondit, « Non. Si je l’avais épousé, il serait maintenant président ». Une blague qui accentue que le succès des époux revient à leur femme…
Dans la démocratie, la première dame, l’épouse du président, n’a aucun statut. Cependant, les médias ont beaucoup contribué à donner une visibilité à celle qui vit dans l’ombre de son époux. D’Eleanor Roosevelt à Jacky Kennedy et Michelle Obama, Danielle Mitterrand à  Asma Al Assad et Cecilia Sarkozy toutes ont droit à une médiatisation. Les dirigeants politiques bénéficient beaucoup de l’exposition de leurs épouses qui séduisent l’électorat féminin ou vantent les mérites de leurs maris. Proie facile des médias, elles s’attirent souvent leurs foudres pour leurs gouts douteux pour la mode. Leurs frasques causent souvent la chute de leurs maris.
Du coup, leur rôle se résume souvent à être la potiche au service. Se pavaner dans les plus belles robes et se faire adorer. Tout est misé sur l’image qu’elles projettent. La first lady se doit d’être sophistiquée, féminine mais discrète, moderne et dynamique.  Plutôt paradoxal non ? Bref on l’a compris faut se montrer mais ne pas faire de l’ombre au mari. Adhérer à tout ce que son époux promouvoit et taire ses convictions. Un cachet philanthropique afin de montrer qu’elles ne sont pas simplement des poupées glamour.   Si la plupart d’entre elles sont parvenues à faire tout ceci, certaines ont revendiqué leur anticonformisme. Exemples flagrants : Danielle Mitterrand et Cecilia Sarkozy. Des femmes qui ont marqué l’histoire.
Loin d’être des femmes dans le paraitre,  elles ont été des premières dames à part. Danielle Mitterrand était une première atypique. Son rôle ne se résumait qu’à faire des apparitions lors des interviews de son mari. C’était une femme d’idée et une citoyenne engagée. Une femme qui n’avait pas peur de faire part de son opinion bien que cela pouvait nuire à son mari. Elle a refusé que la carrière de François Mitterrand chambarde sa vie et change ses convictions. Comme quoi  Valérie Trierweiler n’est pas la seule exception à la règle… Elle s’était investie dans les causes Kurbes et tibétaine très controversées. Se mettant ainsi à dos le Quai d’Orsay et la Chine. S’attirant également les foudres du Maroc en soutenant les Sahraouis. Le roi Hassan est même allé jusqu’à la qualifier « d’épouse morganatique, une roturière de mauvaise aloi ». Le cliché la montrant en train d’embrasser le leader cubain avec ferveur fit polémique.  Loin d’avoir sa langue dans sa poche, elle s’est même permise de fustiger publiquement Jacques Chirac qui selon elle « fait n’importe quoi ». Son comportement n’a pas manqué d’agacer la classe politique. Les députés de droite décident alors de publier une tribune nommé « qui veut faire taire Danielle ? »

Cecilia Sarkozy a quant à elle marquer l’histoire par ses absences. Le 6 mai 2007, le nouveau président de la république est attristé par l’absence de son épouse Cecilia à son bureau de vote. Il qualifie alors ce jour comme étant le « jour le plus triste de sa vie ». Injoignable, ce n’est qu’après 23 heures qu’elle se présente au fameux cocktail du fouquet’s. «Ça aurait dû être le couronnement de ma vie, professionnelle en tout cas. Je dois dire qu'une partie de ma tête était consacrée à d'autres problèmes, j'étais troublé», avait confessé Nicolas Sarkozy le 6 mars 2012 pendant l’émission « des paroles et des actes ». Un mois après son entrée à l’Elysée, Cecilia fait de nouveau polémique. Alors que son époux participe au sommet du G8 en Allemagne, elle décide de rentrer au bercail dès le lendemain afin de fêter les 20 ans de sa fille. Refusant ainsi de se joindre au « programme des épouses ». Elle revendique alors indépendance et modernité. En août, elle décline l’invitation de George W.Bush clamant une angine blanche. Cependant, elle est aperçue quelques heures plus tard à la plage en compagnie  de Rachida Dati. Son divorce est annoncé quelques mois plus tard. Trois plus tard, le président épouse Carla Bruni qui fera bien son rôle de première dame pendant le reste du mandat.
Ça fait penser à Samson et Dalila. Au 12e siècle avant Jésus Christ, le peuple d’Israël est administré par des juges dont Samson. Dévoué à Dieu depuis sa naissance, ses cheveux ne devaient sous aucun prétexte être coupés.  Sa vie est centrée sur les combats avec les Philistins qui dominaient le peuple d’Israël à l’époque.  Samson conduisant souvent à la défaite. Sa force devint alors légendaire : combat contre un lion, extermination de 1000 Philistins avec pour seule arme une mâchoire d’âne entre autres. Désirant percer son secret les philistins chargèrent une femme Dalila de le séduire afin de le lui faire dévoiler. Apres trois fausses indications, Samson finit par révéler que sa force réside dans ses cheveux. Dalila fit alors part de l’information aux Philistins et un guet-apens fut monté. Dalila « l’endormit sur ses genoux » et un homme lui coupa les sept tresses. Elle réveilla Samson, lui annonçant que les philistins étaient là. Les philistins se saisirent de lui et l’emmenèrent après avoir crevé ses yeux.  
Enfin bref, retournons à nos moutons ! Afin d’être une première dame, doit-on renoncer à être indépendante, libre et moderne ? Revoir ses convictions afin de mettre en avant celle de son mari…N’est-ce-pas être soumise et prôner le rôle de la femme traditionnelle d’an temps ? que fait-on de l’émancipation de la femme ? Ceci mérite réflexion…

crédit photo: internet

Tuesday 16 October 2012

All the right moves



Maybe another story
A Simple one this time
I will tell him exactly what is on my mind
Should have imagined less and act boldly
Maybe then he would have been with me
Nothing but just mere assumptions
Amounting to nothing but a bitter taste of deception
Slipping through my fingers…
Just like a wave clearly not wanting to linger
Infatuation getting the best of me
Lost in this maze called his heart
Desperately trying to find some glee
Just a searing gaze and I swear I fall apart
Should I give it a try or should I let go?
Days go by still no progress
Maybe I should just give my heart some rest
All the right moves would do…
The right words at the right time


Ces rencontres qui nous définissent



Un homme m’a un jour dit que « la vie est faite de rencontres et c’est ces rencontres qui font la vie ». Parole pleine de sagesse et de vérité. Comme un message qui m’était destiné, comme pour me dire que notre rencontre n’était pas un fruit du hasard. Une phrase qui n’a pas manqué de me ramener à lui. C’est fou, chaque jour que Dieu fait l’on rencontre des personnes ordinaires qui font un bout de chemin avec nous et puis qui s’en vont. Mais parfois quand la chance nous sourit, on croise cette personne hors du commun.

Celui qui dès que l’on pose le premier regard sur lui, on sent ce lien instantané.  Comme si l’on se connaissait déjà dans une autre vie. Je ne parle pas là d’amour ou encore moins d’attirance. Il y a juste des gens avec qui on prend le temps de tisser une relation et avec d’autres on se retrouve à se livrer comme si on était amis de longue date. Ces rares personnes qui chamboulent tout une vie.

Ces rencontres décisives qui vous marquent et vous changent. Chaque rencontre contribue à forger votre personnalité.  Parfois elle vous rend plus fort ou elle vous chambarde. J’ai la ferme conviction que chaque rencontre est prédestinée. C’est comme un petit coup de pouce que vous donne le destin. Enfin c’est mon opinion. Je me fais peut-être tout un film mais c’est un avis.

La vie est faite de rencontres et d’adieux. C’est pour rien qu’un proverbe chinois avance qu’ « une rencontre est le commencement d’une séparation ». On rencontre beaucoup de gens chaque jour mais certaines rencontres nous définissent. Certains resteront avec nous pendant quelques minutes, d’autres pour quelques mois, quelque uns pour un an et certains pour toute la vie. Qu’importe le nombre de temps qu’ils restent il viendra un jour où l’on est obligé de se dire aurevoir. C’est le cours de la vie. Toutefois, ils laisseront une trace de leur passage sur vous. Comme pour vous rappeler le passé…

Thursday 11 October 2012

Se syndiquer, un droit fondamental



Le 21 septembre dernier, le chef inspecteur (CI) Hector Tuyau et le sergent Jaylall Boojawon escorté par les avocats Mes Rama Valayden, Arassen Kallen et Neelkanth Dullo  avaient notamment logé une plainte en cour suprême. Une plainte qui revendique le droit aux policiers de se syndiquer. Ceci avait pour objectif de contester  l’article 17 de la Police Act qui interdit aux policiers de se syndiquer.  Suite à cette plainte, le commissaire de police a exigé des explications en écrit du chef inspecteur. Or, cette demande surgit quand il y a une atteinte à la discipline. 
Les choses se sont envenimées quand le chef inspecteur s’est vu « victime d’un transfert punitif ». Selon ses collègues, M. Tuyau aurait été assigné au poste de police du port pour avoir réclamer le droit des policiers à se syndiquer à la cour suprême.  Pourtant, il n’y a rien de mal dans la démarche du sergent Jaylall Boojawon et du chef inspecteur Hector Tuyau. Si les gardiens de prison et les pompiers, qui font partie des forces disciplinaires ont le droit de se syndiquer, pourquoi pas les policiers ?
Mais pourquoi se syndiquer ? Il suffit de faire un tour dans les entreprises où il y a ni syndicat ni déléguer afin de répondre à cette question. Ils sont nombreux ceux qui ont le pouvoir à avoir développé les syndromes de la folie des grandeurs. Du coup, les patrons profitent afin de « faire la loi » sans respecter les droits des salariés. C’est peut-être l’individualisme des employés qui donne la possibilité aux patrons d’en prendre trop à leur aise.
Se syndiquer c’est avant tout se donner les moyens d’agir en collectif. Après tout, ne dit-on pas que l’union fait la force ? Chacun dans sa diversité, contribue à l’organisme. Ils collaborent tous ensemble afin d’atteindre un objectif. Dans leurs cas, que l’on respecte leur droit. Un syndicat, c’est le moyen par excellence de se regrouper afin de parler d’une seule voix. C’est briser l’isolation afin de revendiquer ses droits. 
Le règne du chacun pour soi, Dieu pour tous fait rage et pourtant, il faut s’unir afin de se faire entendre dans une compagnie. Faire partie d’un syndicat permet de mettre en commun les revendications des employés, leurs connaissances et leur détermination dépendant de leurs intérêts.   C’est briser le silence afin d’avoir le droit à la parole et d’être écouté au travail. 
On se syndique tout simplement pour se faire respecter et améliorer ses conditions de travail et la qualité de vie.   Alors n’est-ce-ce pas enfreindre la loi constitutionnelle quand l’on empêche aux policiers de se syndiquer ? Question qui mérite réflexion…





Monday 1 October 2012

C'est la saison des amours!



D’après les changements de relations amoureuses de mes contacts sur Facebook, faut croire que c’est la saison des amours. En une semaine je n’ai cessé de voir x est passé de célibataire à en couple avec Y. Tout le monde semble être amoureux tout dernièrement. Du moins, presque tout le monde…Malheureusement il me semble qu’il y a quelques exceptions à règle.
Ça fait une semaine que j’évite comme la peste ces couples dans les bus. Ils me font tous penser à la chanson d’Anaïs « Mon cœur, mon amour ». « Ca dégouline d'amour, C'est beau mais c'est insupportable. C’est un pudding bien lourd, de mots doux à chaque phrase: Elle est bonne ta quiche, amour. Mon cœur, passe-moi la salade .Et ça se fait des mamours, Se donne la becquée à table. Ce mélange de sentiments, aromatisé aux fines herbes. Me fait sourire gentiment et finalement me donne la gerbe!  Je hais les couples qui me rappellent que je suis seule! Je déteste les couples, je les hais tout court! »
C’est vrai quoi faudrait calmer leurs ardeurs. Au moins un peu de pitié pour autrui. Je dois sans doute paraitre comme une femme aigrie. Enfin frustration quand tu me tiens… ! Je me rappelle la dernière fois quand un couple avait échangé un des baisers les plus langoureux. A la fin le type s’était retourné et m’avait regardé dans les yeux comme pour me dire « tu vois ce que tu rates ? ». Ou peut-être que c’était juste mon imagination.
C’est toujours déprimant de regarder deux personnes qui s’aiment, surtout quand vous semblez être de trop dans la pièce. Vous commencez à vous demander pourquoi la chance ne sourit pas à tout le monde… Tous les films vous font croire « qu’un jour mon prince viendra ». Et si l’amour n’était pas destiné à tout le monde ? Et si certaines personnes ne sont tout simplement pas faites pour l’amour ?
Une collègue m’avait dit la dernière que je devrais arrêter de dire des sottises. Que mon tour viendra et que je suis encore jeune entre autres. On  a toujours cette idée en tête qu’il y a quelqu’un quelque part qui est fait pour nous. Qu’un jour il viendra. Oui un jour… Ils sont nombreux à m’avoir dit qu’il ne faut pas chercher l’amour. Il vous tombe dessus sans crier gare.
Mais comment sait-on que la personne est faite pour nous ? Comment sait-on qu’on est amoureux ? Est-ce au premier regard ? Est-ce au premier rendez-vous ? Ou est-ce tout simplement au premier « je t’aime » ? Tant de questions qui restent sans réponse. Peut-etre qu’un jour je saurai en temps et lieu. Entre temps si vous êtes en couple et que vous filez le parfait amour et bien je vous souhaite tout le bonheur du monde (malgré ce que j’ai pu dire plus haut).  Si non et bien chacun son tour…